Cycliste

Monsieur X était cycliste lorsqu’un véhicule le percute lors d’un dépassement. Monsieur X est transporté aux urgences et son pronostic vital est engagé. Il restera 1 mois dans le coma. A son réveil, les médecins lui annoncent qu’il demeurera tétraplégique. Monsieur X souhaite être accompagné par un avocat en dommage corporel pour obtenir une juste réparation des préjudices subis. Grâce à l’intervention de l’avocat en dommage corporel, l’indemnisation de Monsieur X s’élèvera à plusieurs millions d’euros. Cette indemnisation lui permettra de réaliser les travaux d’adaptation de sa maison d’habitation, d’obtenir une aide à la tierce personne 24h/24h, du matériel médical de qualité et ainsi de faire face aux traumatismes personnels et professionnels.

Accident de la vie

Madame Y étant en randonné lorsqu’elle glisse sur une pierre et se fracture la cheville. Madame Y avait contracté avec son assurance un contrat « Garantie accident de la vie ». Elle déclare son accident à son assurance et cette dernière lui propose une indemnisation s’élevant à 8 500€. Madame Y à le souhait de faire étudier à un avocat en dommage corporel son contrat de Garantie accident de la vie. Après étude du contrat, l’avocat en dommage corporel entre en négociation avec l’assurance faisant jouer de multiples post de préjudice pour Madame Y que l’assurance ne comptait pas indemniser. Un accord de réparation des préjudices à hauteur de 45 000€ est trouvé pour les séquelles subit par Madame Y.

Monsieur X était sur une échelle à son domicile lorsqu’il perd l’équilibre seul et tombe sur le dos. Il se casse une vertèbre et devient hémiplégique. Monsieur X avait contracté avec son assurance un contrat Garantie accident de la vie. Son assureur lui propose la réparation de ses blessures à hauteur de 100 000€. L’indemnisation lui parait juste mais il souhaite l’intervention d’un avocat en dommage corporel. Après étude du contrat d’assurance de l’avocat en dommage corporel, ce dernier négocie des post de préjudice trop faiblement indemnisé par l’assurance et obtient une indemnisation totale de 145 000€ en faveur de Monsieur X.

Passager moto/scooter

Monsieur X, conducteur de la moto et Monsieur Z passager rentraient à domicile lorsqu’une voiture ne respectant pas la priorité à droite les percute violemment. Le conducteur est indemne mais le pronostic vital du passager est engagé. Monsieur Z a présenté une paraplégie complète et sollicite l’intervention d’un avocat en dommage corporel pour l’assister. Deux expertises médicales ont eu lieu avec le concours du cabinet et d’un médecin-conseil de victimes. Monsieur Z a ainsi pu obtenir la réparation intégrale des préjudices causés par cet accident.

Aléa Thérapeutique

Madame Y doit se faire opérer du dos du fait d’un tassement de vertèbres. L’opération est risquée. Au cours de cette dernière, un nerf est malheureusement sectionné rendant Madame Y paraplégique. Les médecins lui expliquent qu’eu égard au caractère risqué de l’opération, l’erreur médicale ne peut pas être reconnue. Madame Y souhaite tout de même prendre l’avis d’un avocat en dommage corporel. L’avocat en dommage corporel sollicite alors la tenue d’une expertise médicale. Si les résultats de l’expertise ne permettent pas de reconnaître la faute médicale au regard des risques inhérents à l’opération, l’avocat en dommage corporel obtient toutefois que l’aléa thérapeutique soit retenu et Mme Y sera donc indemnisée par l’ONIAM.

Agression

Madame Y se promenait en ville lorsqu’elle a été agressée au couteau par un passant pour lui dérober son sac à main. Elle subit de nombreux coups et s’écroule au sol. Elle porte plainte suite à cette agression. Les blessures physiques demeurent sans suite ; cependant Mme Y est affectée psychologiquement et entame un suivi psychologique régulier. Elle demande l’intervention d’un avocat en dommage corporel. L’avocat saisit le fonds de garantie des victimes et parvient à négocier la somme de 60 000 euros pour des séquelles psychologiques.

Conducteur voiture

Madame Y se rendait sur son lieu de travail lorsque le conducteur du véhicule circulant sur la voie opposée perd le contrôle et la percute frontalement. Elle présente une fracture au bras et de multiples contusions aux jambes. Elle demande à être accompagnée par un avocat en dommage corporel afin de ne pas être lésée dans son indemnisation. Le cabinet entre en contact avec la compagnie d’assurance du conducteur du véhicule responsable de l’accident. Les négociations n’ayant pas abouti favorablement, le cabinet assigne la compagnie d’assurances devant le Tribunal Judiciaire compétent et obtient une juste indemnisation.

Piéton

Madame Y était piéton lorsqu’elle s’est fait renverser par un véhicule alors qu’elle se trouvait sur le trottoir. Elle est transportée en urgence au Centre Hospitalier Universitaire suite à diverses contusions et douleurs du rachis lombaire. La compagnie d’assurance du véhicule responsable lui propose une indemnisation de 25 000€ immédiatement. Elle souhaite néanmoins obtenir un avis juridique sur la somme proposée en considération des dommages corporels qu’elle a subis. Grâce à l’intervention d’un avocat en dommage corporel, une première provision de 15000 Euros lui est octroyée dès le 1er mois, en prévision de ses dépenses. Puis l’avocat sollicite auprès de la compagnie d’assurance une expertise médicale amiable contradictoire avec le concours d’un des médecins conseil du cabinet.

Six mois plus tard, le cabinet lui obtient une indemnisation totale de 77 000€.

Erreur médicale

Monsieur X doit se faire opérer de l’épaule en raison d’un kyste découvert dans cette zone. Au cours de l’opération, un tendon est sectionné et à son réveil, Monsieur X ne peut plus bouger le bras. Après plusieurs opérations pour réparer cette erreur, Monsieur X a pu récupérer l’utilisation d’une partie du bras. Cependant, une perte de force ainsi que des mouvements réduits ne lui permettent plus de soulever de charges lourdes ni même de lever complètement le bras. L’avocat en dommage corporel fait valoir l’erreur médicale consécutive à la section du tendon et obtient de la part de l’assurance du chirurgien en cause une indemnisation conséquente pour les dommages causés.

Conducteur moto

Monsieur X, conducteur d’une moto, a été heurté par une voiture n’ayant pas respecté le panneau Stop. La violence du choc a conduit Monsieur X à l’hôpital, ce dernier ayant présenté une fracture ouverte de la jambe droite. Il y restera 6 mois et subira de multiples opérations qui ne lui permettront pas de récupérer l’utilisation complète de la jambe. En raison de son handicap, Monsieur X n’a pas pu reprendre son activité professionnelle et souffre désormais d’une boiterie permanente et de douleurs invalidantes au quotidien. Il devra utiliser une béquille à vie.

Grâce à l’intervention du cabinet, la perte des gains professionnels futurs de Monsieur X, l’aménagement de son véhicule, son incidence professionnelle ainsi que toutes les conséquences de l’accident ont été négociées avec l’assurance. L’indemnisation obtenue a permis à Monsieur X d’équiper son véhicule d’un aménagement spécifique afin qu’il puisse retrouver une plus grande autonomie.

Passager voiture

Un groupe d’amis rentre d’une soirée en voiture et se fait percuter par un véhicule se déportant de sa voie, le conducteur étant sous l’emprise de produits toxiques. L’automobiliste est indemne mais les passagers grièvement blessés. L’accident est déclaré à la compagnie d’assurance qui propose une indemnisation à chaque passager du véhicule. Jugeant l’indemnisation trop faible, les occupants du véhicule sollicitent le concours d’un avocat en dommage corporel pour avis. L’intervention du cabinet a permis de multiplier par 3,5 environ l’indemnisation proposée initialement, en négociant sur des postes de préjudice trop faiblement indemnisés d’une part et sur certains postes omis par l’assurance d’autre part.

De plus, la compagnie d’assurance n’ayant pas respecté le délai légal de 8 mois pour émettre une offre provisionnelle, l’avocat obtient également sa condamnation à ce titre.

Accident du travail

Monsieur X, âgé de 47 ans, était salarié pour une entreprise de charpente. Au cours de sa mission, il glisse et tombe du toit car aucun harnais de sécurité ne lui avait été fournis. Cette chute entraine des multiples fractures du bassin empêchant Monsieur X de reprendre son activité et lui laisses des séquelles à vie au dos. La cabinet intervient pour prouver la faute inexcusable de l’employeur sur l’accident du travail et obtient une indemnisation de 175 000€